Gnose - L'Institut Culturel Quetzalcoatl

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Que symbolisent la lance de Longin et les légendes des chevaliers ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

Quels moments ineffables du PLÉRÔME que ceux-là où PARSIFAL guérit miraculeusement la blessure d’AMFORTAS en appliquant sur son côté la lance bénie elle-même, celle qui l’avait blessé.

Quel symbole formidable que celui de cette lance, phallique à cent pour cent, intégralement sexuel.

AMFORTAS chuta par le SEXE, il souffrit épouvantablement de la douleur du remords, mais grâce aux mystères sexuels, il se régénéra, il guérit tout à fait.

Le GRAND KABIRE JÉSUS a dit : « Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive ».

Les chevaliers du Saint-Graal se sont reniés eux-mêmes en dissolvant le MOI PLURALISÉ, en incinérant les germes sataniques, en se baignant dans les eaux du LÉTHÉ et de l’EUNOÉ.

Les chevaliers du Saint-Graal ont travaillé dans la forge ardente de Vulcain ; jamais ils n’ont ignoré le fait que la croix résulte de l’insertion du phallus vertical dans le Ctéis formel.

Les chevaliers du Saint-Graal se sont sacrifiés pour l’humanité, ils ont travaillé avec amour dans le Grand-Œuvre du Père.

Samaël Aun Weor. Livre : Cours Ésotérique de Magie Runique.

 

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

En raison de leur forme, les évêques représentent une lance, celle-ci à son tour, en raison de sa forme phallique, symbolise le pouvoir électrique sexuel masculin ; souvenons-nous de la lance que le centurion romain Longinos planta dans le flanc du corps déjà crucifié du maître Jésus et au moment de le blesser, fit jaillir le sang et l'eau du rédempteur, éclaboussant les yeux à demi aveugles de ce soldat, guérissant immédiatement sa vue, ce qui favorisa la conversion de Longin au christianisme.

La lame de la lance a un double tranchant donc elle a un double caractère, elle peut blesser ou elle peut guérir. Au Moyen Âge, en Europe, la lance avait déjà été remplacée par la lance dans les tournois chevaleresques. Dans le mythe du Graal, la lance celtique neutralise la personne qu'elle blesse, la laissant d'une manière étrange, elle ne guérit ni ne peut mourir, seul un héros aux pouvoirs exceptionnels sera en mesure de guérir la victime ; en utilisant la même lance qui l'a blessé.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 97, Chap. « L'Évêque. »