Qui est Chalchiuhtlicue ?
Réponse du Maître Samaël Aun Weor :
Chalchiuhtlicue : Émeraude, chose précieuse ; celui avec une jupe émeraude. Elle est la déesse de l'eau terrestre et épouse de Tláloc. Les Nahuas la représentaient jeune et belle, avec un diadème doré, un jupon et un manteau à pompons Quetzalli ; Dans le hiéroglyphe qui orne sa jupe, sur la face supérieure intérieure de ses cuisses, apparaît une belle nymphe à la langue fourchue, symbole de lumière.
Les Maîtres l'invoquaient en été, lorsque les rivières s'asséchaient à cause de la sécheresse. Sur l'autel du temple, ils placèrent un tas de sel marin et demandèrent dévotement son aide. Ensuite, le Maître se rendait au lit asséché d'une rivière voisine et, avec le bâton magique, en extase, il ouvrait deux petits trous proches l'un de l'autre et les remplissait de cuivre liquide que les adeptes avaient préalablement fondu. Le Maître répéta l'invocation et, avec ses mains, élargit un de ces trous ; Ensuite, l’eau jaillit du lit asséché de la rivière et commença à couler.
Samaël Aun Weor. Magie Chrétienne Aztèque.
Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :
La déesse des eaux terrestres ; Lorsqu'on contemple un lac en extase, on se connecte véritablement avec ce maître de perfections, lorsqu'on se réjouit du chant de la rivière qui glisse sur son lit de rochers, lorsqu'on savoure l'eau présente dans la nature, épouse du dieu est présent sous une forme ineffable de la pluie de Tláloc.
En cas de sécheresse, nos ancêtres l'invoquaient à travers des rituels. Les Maîtres l'invoquaient en été, lorsque les rivières s'asséchaient à cause de la sécheresse. Sur l'autel du temple, ils placèrent un tas de sel marin et demandèrent dévotement son aide. Ensuite, le Maître se rendait au lit asséché d'une rivière voisine et, avec le bâton magique, en extase, il ouvrait deux petits trous proches l'un de l'autre et les remplissait de cuivre liquide que les adeptes avaient préalablement fondu.
Le Maître répéta l'invocation et, avec ses mains, élargit un de ces trous ; Ensuite, l’eau jaillit du lit asséché de la rivière et commença à couler. Les cérémonies magiques, qu'il faut sauver, les refaire avec une grande foi, sortir de notre matérialisme grossier et vain, rompre avec le scepticisme grossier et pénétrer dans la spiritualité la plus absolue. Entrons dans une méditation profonde, laissons l'esprit en silence, profondément concentré sur cette initiation. et la réponse ne se fera pas attendre, elle ne comblera pas nos caprices égoïstes, mais soyez assurés que les justes demandes seront entendues.
Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 103, Chap. « Divinités du Mexique antique. »