Gnose - L'Institut Culturel Quetzalcoatl

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Où trouver les éléments pour travailler l'Alchimie intérieure ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

1 Les principes de tous les métaux sont : le Sel, le Mercure et le Soufre.

2 Le Mercure seul, ou le Soufre, ou le Sel seul, ne pourraient être à l’origine des métaux, mais unis, ils donnent naissance à divers métaux minéraux.

3 Il est donc logique que notre Pierre philosophale a inévitablement ces trois principes.

4 Le Feu est le Soufre de l’Alchimie ; le Mercure est l’Esprit de l’Alchimie ; le Sel est la Maîtrise de l’Alchimie.

5 Nous avons besoin inévitablement, pour élaborer l’Elixir Rouge et l’Elixir Blanc, d’une substance où le Sel, le Soufre et le Mercure se trouvent totalement purs et parfaits, car l’impureté et l’imperfection des composants se retrouvent dans le composé.

6 Cependant, comme il ne se peut agréger aux métaux que des substances extraites d’eux-mêmes, il est logique qu’aucune substance étrangère ne puisse nous servir ; en conséquence, la matière du Grand-OEuvre doit se trouver à l’intérieur de nous.

7 Nous perfectionnons cette substance suivant l’art et c’est le Feu sacré de notre laboratoire organique.

 

Samaël Aun Weor. Livre : Traité d’Alchimie Sexuelle..

 

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

La chimie moderne doit beaucoup à la recherche de la pierre philosophale. Lorsque les chercheurs ont entrepris la tâche externe de le trouver, ils ont été poussés par l'ambition de l'or.

Cependant, l'alchimie est possible ici et maintenant dans le laboratoire nuptial de l'homme. Au sein d'un mariage légitime par la sublimation des énergies sexuelles dans le microcosme homme.

C'est la transformation de l'homme animal en surhomme, convertissant les métaux lourds des basses passions en or de la vertu et dans la création de véhicules supérieurs au-dessus du corps physique mortel, qui accordent à l'homme la conscience et l'existence dans les autres plans de l’univers

Au Moyen Âge, dans notre région occidentale, il y a eu une floraison fébrile de l'alchimie, que l'on retrouve dans les textes de Paracelse, Cagliostro, Bacon, etc. Même Isaac Newton, dont la passion pour cette connaissance occulte était aussi grande que pour la physique, qu'il incarna dans des écrits peu connus sur la Bible, la théologie, et même sur le temple de Salomon.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 96, Chap. « Quatrième clé de Basile Valentin. »