Gnose - L'Institut Culturel Quetzalcoatl

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À quelles conditions doit-on répondre pour être aidé par les plantes sacrées ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

Question : Vous avez parlé une fois de PEYOTE et aussi de Maître Huiracocha, précisément comme une aide dans ces cas de déploiement.

Réponse du ma^itre Samaël : Le PEYOTE est très différent. Il coopère, oui, avec la méditation, il ne forme aucune habitude d'aucune sorte. C'est très exigeant : il faut avoir la CHASTETÉ ; en aucun cas le PEYOTE n'aiderait, par exemple, les lubriques. Il a ses règles. Maître Huiracocha parle du PEYOTE, raconte comment Maître Rassinchi, à l'intérieur du Temple de Chapultepec, l'a utilisé pour provoquer une scission.

C'est la seule plante recommandée, mais c'est pour les HOMMES COSMIQUES, à condition qu'ils n'en abusent pas.

Samaël Aun Weor. Conf. : « La Sagesse de l'Etre ».

Note d'ICQ Gnosis : Parce que nous ne sommes pas préparés ni n'avons le niveau intérieur pour profiter des plantes sacrées de manière positive, l’ICQ ne recommande l'utilisation d'aucun type de drogue, d'hallucinogène ou de stimulant naturel ou synthétique à des fins récréatives ou spirituelles.

Samaël Aun Weor. Livre : Les Mystères Mayas.

 

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

Chez les Huicholes, on trouve aussi une légende qui le rattache à certains aspects de la nature qui sont loin de l'abus qu'on en fait aujourd'hui, pour mieux comprendre cela voyons sa légende :

Légende du cerf bleu

Cette légende nous raconte qu'il fut un temps où la maladie, la faim et la soif commençaient à prédominer. Pour résoudre ce problème, les grands prêtres envoyèrent quatre jeunes hommes chercher de la nourriture, chacun d'eux représentant les éléments de la nature.

En route ils ne trouvèrent rien et commencèrent à être remplis de tristesse et de désespoir et quand ils furent sur le point d'abandonner à cause de l'épuisement ils virent un grand cerf bleu qui les observait, ils décidèrent de le suivre pour pouvoir le chasser et apporter de la nourriture à leur communauté et après plusieurs jours ils sont arrivés, grâce à ce cerf bleu, à une plante sacrée appelée "hikuli", la légende raconte que ces jeunes ont apporté cette plante à leur communauté et les prêtres l'ont donnée aux gens et qu'avec elle ils ont réussi à établir un lien entre le matériel et le spirituel et ont su établir un équilibre avec la nature, c'est pourquoi ils ont réussi à récupérer une nourriture à la fois physique et spirituelle dans laquelle la tristesse et le désespoir disparaissent.

Il est nécessaire de préciser qu'aujourd'hui ces plantes sacrées ont malheureusement été mal utilisées, car ils les consomment en croyant qu'elles auront des expériences mystiques, et ils se justifient en disant que les indigènes le font, cependant, ils oublient que les élémentaux de ces plantes ils aident sans qu'il soit nécessaire de les ingérer; Ceux qui conservent encore la sagesse ancestrale font des pèlerinages au cours desquels ils effectuent un processus interne pour établir cette communication avec la partie spirituelle et avec la nature, qui est quelque chose de sacré que nous avons oublié.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 95, Chap. « Le Cerf. »