Que représente le serpent dans les cultures mésoaméricaines ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

Nous sommes arrivés à un point très épineux, je veux faire allusion à cette question de la Kundalini, le serpent igné de nos pouvoirs magiques, cité dans beaucoup de textes de la sagesse orientale.

Indubitablement, la Kundalini est l’objet d’une abondante documentation, et c’est quelque chose qu’il vaut la peine d’étudier.

Dans les textes de l’Alchimie médiévale, la Kundalini est la « signature astrale » du sperme sacré, Stella Maris, la Vierge de la Mer, celle qui guide avec sagesse les travailleurs du Grand-Œuvre.

Chez les Aztèques elle est Tonantzin, pour les Grecs, la chaste Diane et en Egypte elle est Isis, la Divine Mère, de qui aucun mortel n’a levé le voile.

Samaël Aun Weor. Livre : La Grand Œuvre.

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

Nous savons que le Serpent ardent aux pouvoirs magiques se retrouve trois fois et demie lové dans le coccyx, dans l'os sacré et s'éveille grâce à la Magie de l'Amour.

Le Serpent ardent de nos pouvoirs magiques est le Feu Sacré, et est aussi notre Divine Mère Kundalini. Elle a le pouvoir de pulvériser tout agrégat psychique inhumain, qu'il s'agisse de colère, d'avidité, de luxure, d'envie ou de haine, etc.

Mais nous devons invoquer notre Mère Kundalini, Devi Kundalini Shakti. Demandez-le-lui au moment même où nous avons besoin d'éliminer l'agrégat psychique que nous avons découvert et compris. Oui, il faut la supplier et la supplier d'éliminer, de pulvériser un tel défaut, et elle le fera.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 99, Chap. « Architecture Mésoaméricaine. »