Gnose - L'Institut Culturel Quetzalcoatl

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Comment accomplissons-nous l'alliance acquise lors du baptême ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

Nous allons étudier le premier cercle dantesque des mondes infernaux.

Il est indubitable que cette première région submergée correspond au Limbus, l’Orcus des classiques, cités par Virgile, le poète de Mantoue.

On nous a dit très clairement que cette zone minérale se trouve parfaitement représentée par toutes les Cavernes Du Monde, lesquelles, unies astralement, viennent compléter la première région submergée.

Dante, le vieux Florentin, dit qu’en cette région il rencontra tous les « INNOCENTS QUI MOURURENT SANS AVOIR REÇU LES EAUX DU BAPTÊME ». On doit comprendre tout ceci d’une forme strictement symbolique.

Si nous étudions soigneusement Le « RAMAYANA », le livre sacré des Hindous, avec étonnement mystique, nous pourrons mettre en évidence le fait effrayant et définitif que le sacrement du Baptême est très antérieur à l’ère chrétienne.

Dans Le « RAMAYANA » nous pouvons vérifier le cas insolite de Rama qui fut certes baptisé par son Guru.

Indiscutablement, personne, dans les temps anciens, ne recevait le baptême sans avoir été au préalable instruit sur les Mystères du Sexe car le sacrement du Baptême est un pacte de Magie Sexuelle.

Il est extraordinaire qu’en entrant dans n’importe quelle École de Mystères on reçoive en premier lieu le Sacrement du Baptême.

Il est indispensable, urgent, de transmuter les « Eaux Pures de Vie » en « Vin de Lumière de l’Alchimiste ». Ainsi seulement est-il possible de parvenir à l’Autoréalisation Intime de l’Être.

Dans « l’Orcus » des classiques, dans les Limbes, nous rencontrons beaucoup d’hommes cultivés qui sont morts sans avoir reçu les « eaux du baptême ».

Des trompés sincères, emplis de magnifiques intentions, mais trompés. Des gens qui crurent la Libération possible sans nécessité de Magie Sexuelle.

Samaël Aun Weor. Livre : Oui, il y a l’enfers ; oui, il y a le diable ; oui, il y a le Karma.

 

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

Les mosaïques, les métiers à tisser, les anciennes sculptures en pierre, les temples, les mausolées, dans les cultures séparées dans le lointain et à travers la nuit des siècles, associent le paon au baptême, au serpent, au retour de l'homme à l'Eden perdu par l'utilisation judicieuse de l'énergie sexuelle.

C'est notre mère divine au-dessus de la source des eaux de la vie, qui dévore le serpent tentateur, qui se perche au milieu du jardin d'Eden et de l'arbre de vie. L'oiseau mythique aux couleurs ineffables, qui ramène le héros au père.

Il est impératif que nous incarnions dans notre vie quotidienne les mystères du feu, les mystères du baptême, avec l'aide de la mère divine.

Le paon est l'éternel féminin, perché sur les fonts baptismaux, la mère divine immaculée qui habite en chacun de nous, qui nous assiste dans la bataille contre les agrégats psychologiques indésirables que constituent notre ego, nos péchés, nos penchants, nos passions, nos égoïsmes.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 95, Chap. « Le paon. »