Gnose - L'Institut Culturel Quetzalcoatl

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Que devons-nous sacrifier pour recevoir les facultés, les dons et les vertus de l'âme ?

Réponse du Maître Samaël Aun Weor :

Seule l’annihilation du désir permet de libérer le mental qui se trouve ordinairement embouteillé dans la bouteille du désir. En libérant le mental, il se produit l’éveil de la Conscience. Le Fou du Tarot est le Moi psychologique, le Moi-même, l’Ego réincarnant. Si nous voulons en finir avec les causes du désir, il nous faut vivre en état de constante vigilance. Il est indispensable de vivre en état « d’alerte-perception », « d’alerte-nouveauté ». Le Moi est un grand livre à plusieurs tomes. Nous ne pouvons étudier ce livre qu’au moyen de la technique de la Méditation interne.

Lorsque nous découvrons un défaut et le comprenons en profondeur dans tous les niveaux de l’esprit, ce défaut, alors, se désintègre. Chaque fois qu’on désintègre un défaut, à sa place surgit quelque chose de neuf, soit un mot de passe, ou un mantra, quelque Initiation Cosmique, ou un degré ésotérique, ou un pouvoir secret, etc.

C’est ainsi que nous nous emplissons peu à peu de véritable Sagesse.

 

Samaël Aun Weor. Livre : Esoteric Course of Kabala.

 

Réponse du Magazine "La Sagesse de l'Être" :

Mais toute nouvelle création dans notre monde intérieur réalisée par nos parents internes implique un terrible sacrifice, toute naissance implique la mort de quelque chose. Si la graine ne meurt pas, le fruit ne naît pas. La vie et la mort sont deux aspects profondément liés l'un à l'autre.

Grâce au travail du sexe en couple, il est possible de créer de nouvelles valeurs au sein de notre psychisme, mais cela implique la destruction des défauts psychologiques que nous portons en interne à travers le sacrifice de ceux-ci.

Ce n'est qu'avec la mort de nos agrégats psychologiques que les vertus de notre âme peuvent naître. Ce n'est qu'avec la mort des moi infernaux que nous portons à l'intérieur que le nouveau arrive. Pour que nos faiblesses meurent, nous devons être prêts à sacrifier nos peines, nos souffrances, mais attention, tout le monde n'est pas prêt à y renoncer.

Le Magazine "La Sagesse de l'Être", 96, Chap. « L’Huitième clé de Basile Valentin. »